Pensée du 03 avril
Dans l’Apocalypse, Jésus dit qu’il se tient à la porte et qu’il frappe (cf. Ap 3, 20). Parfois, comme l’a souligné notre Pape François, il ne ne frappe pas pour entrer, mais il frappe de l’intérieur pour sortir. Pour sortir vers les « banlieues existentielles du péché, de la souffrance, de l’injustice, de l’ignorance et de l’indifférence religieuse, de la pensée et de toutes les formes de misère »