Pensée du 25 décembre
Consoler, mais comment ? Cette question est importante. Avec la consolation même par laquelle j’ai été consolé par Dieu ; avec une consolation divine, non humaine. Non pas en me contentant de répéter des paroles stériles de circonstance qui ne changent rien à la situation (« Courage, ne te laisse pas aller : tu verras que tout s’arrangera pour le mieux.! »), mais en transmettant l’authentique consolation qui vient des Écritures et procure l’espérance (cf. Rm 15, 4). Cela explique les miracles qu’une seule parole ou un seul geste, accompli dans un climat de prière avec la foi dans la présence de l’Esprit, est capable d’opérer au chevet d’un malade. C’est Dieu qui console à travers moi.